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Après les appels au boycott, le Festival Mawazine fait face à des accusations de «corruption»

Après les appels au boycott, le Festival Mawazine fait face à des accusations de «corruption»

Alors qu’il a déjà fait l’objet d’appels au boycott, le Festival Mawazine, qui a clôturé sa 17ème édition le week-end dernier, continue de faire l’actualité. Cette fois, c’est Tarek Al Arian, le mari et producteur de la diva syrienne Assala Nasri, qui accuse un membre du comité d’organisation du festival de «corruption», rapporte Alyaoum 24.

En réponse au post sur Instagram d’un journaliste, également «média influenceur» sur ce réseau social, qui a félicité la diva émiratie Ahlam tout en s’interrogeant sur l’absence d’Assala Nasri au festival marocain, Tarek Al Arian a apporté une réponse des plus surprenantes.

«Assala n’a pas participé au festival parce qu’un membre du management voulait une commission sous la table», écrit son mari et producteur.

Il précise ensuite que «cela n’a pas été accepté, ni par Assala ni par son manager». Et de conclure : «Je pense que c'est là la raison de son absence.»

Difficile de vérifier la véracité des propos de Tarek Al Arian et de savoir s’ils concernent l’édition 2018 du festival international, celle de l’année 2017 ou 2016. Pour rappel, la diva syrienne s’était produite le 30 mai 2015 lors d’un concert au stade Nahada à Rabat, après une participation en 2010.

Pour l’instant, l’association Maroc Cultures, organisatrice du Festival Mawazine, ne s’est pas exprimée sur ce sujet.

Le 03 Juillet 2018

Source web Par yabiladi

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