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Taxe aérienne Le ministre des Finances clarifie la situation

 Taxe aérienne   Le ministre des Finances clarifie la situation

Depuis le 1er avril, le sujet de la taxe aérienne provoque un véritable séisme dans le microcosme du Tourisme. Mohamed Boussaid, ministre des Finances nous apporte, une nouvelle fois, en exclusivité, quelques éléments de clarification pour mettre fin à ce cafouillage qui in fine, fait du tord à l’image du Maroc.

Nous sommes un pays organisé, où il y a des lois. C’est la loi de Finances qui précise la date de mise en application de cette taxe ainsi que les modalités opérationnelles.Tout changement ne peut être fait que par une loi.Aujourd’hui, il n’y a pas de changement. La taxe aérienne pour la solidarité et la promotion touristique est bien entrée en vigueur le 1er avril.L’annulation, le report ou toute autre action prévue par la loi, est de la seule compétence du législateur.Et quand bien même, il y aurait des changements, l’information ne peut venir que d’autorités compétentes. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.Ceux qui ont relayé ces informations de report ou de suspension de cette taxe, soit méconnaissent les mécanismes juridiques de notre pays, soit ont de mauvaises intentions.

3 Avril 2014-04-03 _SOURCE WEB Par Tourisma Post

Tags : Depuis le 1er avril, le sujet de la taxe aérienne provoque un véritable séisme dans le microcosme du Tourisme- Mohamed Boussaid, ministre des Finances-Nous sommes un pays organisé, où il y a des lois. C’est la loi de Finances qui précise la date de mise en application de cette taxe ainsi que les modalités opérationnelles. Tout changement ne peut être fait que par une loi- La taxe aérienne pour la solidarité et la promotion touristique est bien entrée en vigueur le 1er avril- L’annulation, le report ou toute autre action prévue par la loi, est de la seule compétence du législateur- l’information ne peut venir que d’autorités compétentes. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui- Ceux qui ont relayé ces informations de report ou de suspension de cette taxe, soit méconnaissent les mécanismes juridiques de notre pays, soit ont de mauvaises intentions-